Francis Rohero,cet homme politique, économiste,prélat de l’église catholique romaine raté, donne les pistes du décollage réussi de l’économie nationale. Ce dernier prône l’investissement dans le domaine agricole,le développement de l’industrie extractive des minerais.
Samedi dernier ,devant les micros,feux de projecteurs des professionnels des médias ,Francis Rohero hausse le ton » Gitega devrait prendre le devant pour investir dans le secteur agricole actuellement négliger pour la sécurité alimentaire et la prospérité du pays » .
L’orateur du jours ressasse que sur les 5050 milliards de francs Burundais injectés au budget général de l’état , seulement une enveloppe jugée selon lui de 6% est investie dans l’agriculture qui de surcroît fait nourrir 14 millions des bouches ce qui laisse entendre que le pays est sous le seuil de la faim fringale.
Selon lui,une large opinion pense que 80% qui n’ont pas été a l’école sont des cultivateurs.pour lui cela constitue un trompe oeil car 50% sont des enfants et d’autres travaillent dans d’autres secteurs de la vie nationale,deux millions cinq cent mille constituée par des femmes sont des cultivatrices
Deux millions cinq cent mille un caillou dans les chaussures de la prospérité du pays.
Francis Rohero dit que sur 14 millions de la population Burundaise,regorge 2.500.000 cultivateurs constituée principalement par des femmes a faibles revenues qui brisent toute sortes d’intempéries pour participer dans des activités champêtres sur les collines et marrais pour nourrir le reste de la population,or selon lui ces dernières sans l’aide du gouvernement sont incapables de faire parer l’insécurité alimentaire que sévit le pays de suite a l’infertilité,et l’exiguïté du sol Burundais .
Francis Rohero salut la mesure du ministère en charge du commerce dans ses attributions,de fixer le barème des prix des produits alimentaires du panier ménager,ou certains produits ont été revus à la baisse et se demande de comment cette ordonnance pourrait virer vers sa mise en application réussi au moment où l’agriculture Burundais va mal.
Francis Rohero souligne que le Burundi de concert avec le reste du monde a signé et ratifié la convention de Maputo ou chaque pays s’est engagé à soutenir l’agriculture a hauteur de 10% .Et dans la foulée cet économiste et homme politique Burundais demande au gouvernement via au budget général de l’état de doter une enveloppe de 20 a 30 % pour investir et financer le secteur agricole pour lutter contre la faim et promouvoir le développement du pays