La représentante de la banque mondiale au Burundi, Hawa Cissé Wagué a tenu un café de presse jeudi 23 janvier 2025 centré sur l’état du portefeuille de cette institution de Breaton wood , et les grandes réalisations en cours de l’année fiscale 2024 . Le développement du capital était parmi l’agenda de cette banque à guichet fermé , Hélas la crise du carburant reste un caillou dans la chaussure de ce grand financier de la planète .
Hawa cisse wague sous le feu des projecteurs des professionnels des medias, brosse que les grandes réalisations de financiers du monde devrait coute 1,906 milliards en don, reparti en 20 projets, et le montant non décaisse est de 1,212,85 milliards .La portefeuille s’est focalisé sur le développement du capital humain et l’accès à l’énergie , tout en mettant un accent particulier sur les programmes prioritaires du gouvernement . Des nouveaux projets ont été préparés et approuvés en 2024 pour un montant total de 703 millions de dollars , et suite à la montée vertigineuse des eaux du Lac Tanganyika , la Banque mondiale s’est gardé de financer le projets Merankabandi pour être au chevet a la crise des inondations causée par El Nino , un financement additionnel approuvé au mois de juin 2024 a permis d’élargir le soutien d’urgence ou plus de 10.000 ménages affectés par les inondations ont reçu une aide , avec une capacité d’intervention pour 40.000 ménages supplémentaires, en réponse aux chocs climatiques et a l’insécurité alimentaire , 35 millions de dollars ont été mobilisés pour le transfère monétaires d’urgence aux ménages de 6 provinces parmi les plus touchés par l’insécurité alimentaire .
Quand la Banque mondiale sort de son silence sur la crise économique du Burundi
La patronne de la Banque mondiale au Burundi , ne mâche pas ses mots face à la crise économique qui endeuille le Burundi ,qui hypothèque l’afflux des produits de la première nécessité comme le carburant , Hawa- Cisse indique que la crise en or noir a affecté l’agenda de cette institution sur le Burundi ,et tend la main au gouvernement Burundais pour discuter ensemble sur le probable financement sur l’importation du carburant qui met en danger les économies Burundaise .